TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
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Dernière mise à jour 30-04-2024
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« Nymphéas, effet du soir » de Claude Monet (1840-1926)
D'après un tableau de Claude Monet
Timbre : Courant / moderne
Voir tous les timbres courants de l'année 1999
Listage des timbres de l'année 1999
Premier jour : Oblitération 1er jour à Giverny le 29 mai 1999
Vente générale : 31 mai 1999
Retrait de la vente : 4 février 2000
Valeur faciale : 6 f 70
Dessinateur : Claude Monet
Mise en page : Charles Bridoux
Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Offset
Format du timbre : 52 x 40,85 mm (image 48 x 36,85 mm )
Quantité émis : 4.992.635
Présentation : Feuille de 30 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 3247
Catalogue Spink / Maury France : N° 3229
Catalogue Michel : N° 3392
Catalogue Scott : N° 2701
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,88 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,28 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects
Informations complémentaires
Claude Monet par Nadar en 1899. (Image Wikipédia)
Source : divers documents internet dont Wikipédia
Claude Monet par Nadar en 1899. (Image Wikipédia)
« Nymphéas, effet du soir » tableau de Claude Monet, huile sur toile de 1897, 73 x 100 cm, visible au musée Marmottan Monet, Paris
Source : divers documents internet dont Wikipédia
Informations sur le sujet du timbre
Claude Monet, né sous le nom d’Oscar-Claude Monet le 14 novembre 1840 à Paris et mort le 5 décembre 1926 à Giverny, est un peintre français et l’un des fondateurs de l’impressionnisme. Il commence sa carrière d’artiste en réalisant des portraits-charge des notables de la ville du Havre. En 1859, il part pour Paris tenter sa chance sur le conseil d’Eugène Boudin. En 1866, il connaît le succès au Salon de peinture et de sculpture grâce à « La Femme à la robe verte » représentant Camille Doncieux qu’il épouse le 28 juin 1870. Il fuit la guerre de 1870 à Londres, puis aux Pays-Bas1. Dans la capitale anglaise, il fait la rencontre du marchand d’art Paul Durand-Ruel, qui sera sa principale source de revenus, pendant le reste de sa carrière. Revenu en France en 1871, il participe à la première exposition des futurs impressionnistes, en 1874.
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